Zanskar (Ladakh, Inde)
(du 2 au 22 août 2003)

2 août - Paris/Delhi
3 août - Delhi
4 août - Delhi/Manali
5 août - Manali
6 août - Manali/Darcha
7 août - Darcha/Palhamo
8 août - Palhamo/Jankar
9 août - Jankar/Charpic Napko
10 août - Charpic Napko/Shingo La/Gamburanjon
11 août - Gamburanjon/Kargyat

12 août - Kargyat/Purni
13 août - Purni/Phuktal/Chetang
14 août - Chetang/Reru
15 août - Reru/Padum
16 août - Padum/Karsha/Padum
17 août - Padum/Kargil
18 août - Kargil/Lamayuru/Alchi/Leh
19 août - Leh/Stock/Spituk/ /Leh
20 août - Leh/Thikse/Hemis/Shey/Leh
21 août - Leh/Delhi/Agra
22 août - Agra/Delhi/Paris

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1ère partie : de Delhi à Chetangvoir Zanskar1)

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2ème partie : Padum - Leh - Agra - Delhi

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Jeudi 14 août - La journée commence par un bon réveil musculaire pour traverser un pittoresque petit canyon qui coupe notre sentier sur la gauche

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et poursuivons la descente des gorges en rive gauche avec de surprenants effets d'ombre et de lumière projetés sur l'eau tumultueuse du Tsarap que Dominique me propose d'exprimer.

... Et tandis qu'ils priaient dans la clarté suprême,
Le Tsarap bondissait sur les blocs ardoisés,
Ils virent sur les flots leurs ombres entrecroisées
Projetées à jamais vers les contrées extrêmes...
("Remerciements" - extrait, à suivre - "Sur les pentes des Himalaya, août 2003)

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C'est à lui que revient cette image des "ombres entrecroisées" ! Traversée en rive droite par un pont suspendu et remontée vers l'important village d'Ichar fortifié sur un piton rocheux au-dessus de prospères cultures et vergers.

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Curieusement les rues sont vides d'habitants, hormis les deux moines d'une petite Gompa (école bouddhique). Nous redescendons en contrebas pour déjeuner près d'une rivière bordée de peupliers. Des enfants jouent tranquillement non loin de là, sans penser à quémander outre mesure. Nos jeunes accompagnateurs népalais (assistants du cuisinier), nous apportent gentiment comme à l'habitude dans des gamelles nos repas qu'ils ont préparés. La remontée sur le plateau est très rude.

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Nous y retrouvons de vastes champs fertiles et irrigués avant de survoler par un sentier au tracé vertigineux les magnifiques gorges granitiques de Nyuru.

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A Phuktal, à Barden, hors du temps, ils prièrent
Avant que d'affronter, le réel, l'éphémère
Dans les gorges sévères du Tsarap à Nyuru
D'où la Pensée s'arrache, en vagues, à son courroux !

("Remerciements" - extrait, à suivre - "Sur les pentes des Himalaya, août 2003)

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De l'autre côte sur un sentier semblable, défilent les mules de notre caravane. Nous redescendons finalement sur le confluent du Tsarap avec une impétueuse rivière venant de l'Ouest et par un nouveau pont suspendu de bonne facture, nous le retraversons pour gravir une imposante moraine et parvenir sur un plateau étendu sur une boucle de sa rive gauche. Plusieurs zones construites, dont Reru, et des villages de vacances bien équipés y fournissent des possibilités d'accueil. Nous préférons toutefois poursuivre quelques km jusqu'à un bel emplacement (Camp 9, GPS 171, 3811 m) où nous serons seuls au bord d'un petit lac, vide le soir, mais rempli d'eau pendant la nuit pour irriguer le village en contrebas pendant le jour.

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Vendredi 15 août - Quelques km après ce camp, nous nous arrêtons au petit monastère de Mune (ou Money, GPS 172, 3845 m), très attachant, dans lequel on nous offre le thé et la tsampa et un peu plus loin, celui de Barden (GPS 176, m) que n'effaceront pas dans notre esprit les grands monastères de la région de Leh, dans lesquels nous ne ressentirons pas une telle sérénité.

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Déjeuner près d'un torrent (GPS 177, m). Le chemin est désormais moins agréable car il suit la piste carrossable reliant maintenant Padum à Reru. Pourtant nous la quittons un instant pour couper l'un de ses lacets ce qui nous conduit à croiser une caravane assez nerveuse et évitons de justesse un accident lorsque l'une de nos Corinne est accrochée par une mule (ou cheval un peu ombrageux et traîné pendant une certaine distance.... ce que j'ai cherché à décrire ainsi...

C'est alors que sur eux, fondit la caravane,
Des yacks, des Gandarva (**), des mulets et des ânes.
Dans cet instant critique, un Vayou (**) ombrageux,
Entraîna dans sa course un guerrier valeureux.

Mais Arjuna (***)veillait, et décochant ses flèches,
Arrêta sur le champ le Gandarva revêche !...
("Remerciements" - extraits, à suivre - "Sur les pentes des Himalaya, août 2003)

(**) Mi dieux, mi bêtes
(***) L'un des 5 frères Pandava, l'archer merveilleux.

(NB, règle d'or - ne jamais rester en contrebas d'une mule lorsqu'elle croise notre chemin !) et parvenons sans autre encombre à Padum, terme de notre traversée pédestre du Zanskar.

... Ils terminèrent ainsi, OM mani padme HUM ! (****)
Leur périple effréné de Darsha à Padum !
("Remerciements" - extraits - "Sur les pentes des Himalaya, août 2003)

(****) Le Bonheur est dans le Lotus (coeur de la vision tantrique)

Nous campons sur le petit terrain à proximité immédiate de l'arrêt des cars et de l'hôtel Ibex (Camp 10, GPS 180, 3600 m) qui se révèlera agréable malgré les nombreux spectateurs curieux !

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Samedi 16 août 2003 - Visite du monastère de Karcha (GPS 181, m) avec une très belle vue sur la plaine qui entoure Padum et les méandres du Tsarap qui devient le Zanskar.

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Nous réussissons à y aller et revenir en taxi tandis que certains de nos amis, plus courageux, font le trajet à pied ! Visite de la vieille ville de Padum avec de pittoresques maisons faisant corps avec les rochers. Dernière nuit sous tente (Camp 11)

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Dimanche 17 août - Très longue et éprouvante journée d'autocar (plus de 12 heures !). On remonte d'abord le cours de la rivière Dorta jusqu'au Pensi La (GPS 182, 4398 m) après avoir admiré le somptueux glacier du Darung Drung (?).

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Nous passons à proximité du Ringdon Gompa, mais sans pouvoir le visiter en raison de la longueur de la journée, et déjeunons à Juldo. A noter que la route (décrite comme très aléatoire et en mauvais état dans le guide Olizane revu en 2002) est maintenant relativement carrossable bien qu'empierrée seulement jusque là). Le cours de la rivière Karcha, jusque là très paisible, devient plus tourmenté et découvrons les sommets couverts de neige et les glaciers du Kun (7085 m) et du Nun (7133 m), bien visibles surtout après Parkatchik.

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Nous poursuivons sur une meilleure route goudronnée la descente du cours de la Karcha qui traverse alors de belles régions agricoles irriguées jusqu'à Kargil (3048 m) où nous passons la nuit dans un hôtel convenable.

Lundi 18 août - Vers Leh, la route, bien entretenue, remonte la rivière Wakha Chu jusqu'au Namika La (3700 m). Nous admirons au passage le grand Bouddha de Mulbeck (VIII siècle), sans doute contemporains de ceux de Bamyan, détruits il y a 2 ans par la folie religieuse des intégristes musulmans de l'Afghanistan.

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Remontant ensuite la Sangeluma nous parvenons au Fatu La (4091 m), point le plus élevé de la route reliant Shrinagar à Leh, dans une région de montagnes et paysages désertiques. La redescente sur le site du monastère de Lamayuru est émouvante.

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Belle cérémonie psalmodiée avec accompagnement de trompes et de "santours", écoutée avec une frénésie contenue par une ribambelle de petits élèves moines,

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qui me font aussitôt écrire...

Dis à ton frère en Christ
Que la Beauté sur Terre,
Que la Durée, n'existe
Qu'en la Foi, l'éphémère !...

... Dis à ton frère en Christ
Que l'Amour préexiste.
De tout Temps, il insiste,
En lui, à l'improviste !
(DV, "Dis à ton frère en Christ !"- extrait - "Sur les pentes des Himalaya"
Monastère de Lamayuru, Ladakh, 18 août 2003)

... J'en perds un verre de lunettes que je ne peux retrouver, la cérémonie achevée, dans la pénombre du sanctuaire et de ses couloirs ! Déjeuner dans le village, en contrebas du monastère. Bien que se déroulant sur une nouvelle route récemment ouverte et beaucoup plus sûre, me dit-on..., la descente des gorges du Yapola est impressionnante dans son décor de roches abruptes et désertiques. Nous rejoignons ainsi le cours de l'Indus que nous remontons jusqu'à Alchi dont nous visitons tranquillement l'ensemble de petits temples intimes et chaleureux au milieu de beaux arbres anciens.

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En fin d'après midi, nous reprenons la route de Leh. Cette route ne suit que rarement le cours de l'Indus en raison de ses profondes gorges et doit souvent s'en éloigner en s'élevant sur les plateaux plus propices de sa rive droite. Nous le rejoignons pourtant au confluent avec le Zanskar que nous avions quitté à Padum. Ce fleuve est presque aussi large que l'Indus à sa jonction avec celui-ci. Encore un nouveau détour sur les plateaux au Nord de l'Indus et nous redescendons par des pentes régulières sur la vaste plaine qui entoure Leh. Hôtel confortable (Dragon) auquel nous parvenons, aujourd'hui encore, à la nuit bien tombée.

Mardi 19 août - Dans la matinée, visite de la ville et de la zone commerçante située au Nord-Ouest, à proximité de l'hôtel Dragon (attention - le Nord du plan de la ville fourni par l'hôtel est faux de près de 35 degrés !). C’est la fête de Krishna !

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L'après-midi, nous nous rendons en voiture aux monastères de Stock, puis de Spituk, malheureusement peu animés ce jour là. Ce contraste entre la splendeur des textes bouddhiques qui les ont suscités et les statues, un peu ridicules et peinturlurées (oserais-je dire ?) et toutes esseulées me fait écrire quelques pensées iconoclastes...

Bonnets jaunes et bonnets rouges :
C'est l'Himalaya qui bouge !
Bonnets blancs et blancs bonnets,
Mais fais donc ce qu'il te plaît !
("Bonnets jaunes et bonnets rouge"- extrait - "Sur les pentes des Himalaya"
Monastère de Stoch, Ladakh, 19 août 2003)

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Puis, pour tenter d'exprimer la contradiction que je ressens entre la pensée originelle de Bouddha (au moins celle qui nous a été transmise par les textes que nous lisons) et le caractère vain et superficiel de ces dorures et portraits ... mais cette contradiction n'est-elle pas ici l'expression du déchirement de l'homme entre sa vraie nature et ce dont il a reçu la liberté de créer par lui-même le "bien", mais aussi le "mal" ?) j'écris :

... Dieu est Un, l'homme est un rêve,
Il est contradiction.
En haut, il pense, il s'élève...
En bas... crucifixion

En un corps imaginaire
De statues et de matière
Qu'il s'invente et qu'il adore.
Et pourtant... Il rêve encore !
( "Contradiction"- extrait - "Sur les pentes des Himalaya"
Monastères de Spituk et Hemis, Ladakh, 20 août 2003)

Retour à Leh en fin d'après-midi qui nous permet de commencer quelques achats.

Dîner et soirée chaleureux avec notre guide, Ram, et nos accompagnateurs et cuisinier népalais qui repartent le lendemain.

Mercredi 20 août - Nous nous rendons en voiture aux monastères de Thickse, puis de Hemis dont les vastes constructions sur leurs sites rocheux sont imposantes.

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Mais l'absence d'animation ce jour là, et la répétition des statues, dorures et objets de culte, vraiment trop éloignée de la vibrante pensée originelle exprimée par le Bouddhisme, et aussi l'insistance sur les représentations (relativement récentes ... depuis le moyen-âge seulement !) matérialistes des enfers et du paradis dans les "roues de la vie" (notions toutes différentes de celles du Tantrisme, comme du Bouddhisme originels) me choquent profondément. Je cherche à exprimer cela en pensant beaucoup à la Foi Bouddhiste ressentie à Phuktal, Muney et Barden ...

Pouvoir, oppression et richesse,
Désir, égoïsme, ignorance,
Sont-elles causes ou conséquences
Ou source en mon coeur de tristesse ?

Si Bouddha revenait, à lui,
Souffrirait-il, ouvrirait-il,
Ces monastères enfouis
Sous les ors et les portraits futiles ?

Mais s'il revenait, sans doute,
Aimerait-il ce moine obscur,
Souriant, priant, à l'écoute,
De la souffrance en un coeur pur !
("Des vertus et des vices" - "Sur les pentes des Himalaya",
Monastères de Thickse et Hemis, Ladakh, 20 août 2003)

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Au retour, visite du petit monastère de Shey implanté au XVIème siècle sur les escarpements de la forteresse qui fut, il y a 1000 ans, le siège de la capitale du Ladakh. De retour à Leh, je dois compléter mes achats par un nouveau chandail en cachemire - le premier ayant été, de toute évidence, dérobé, Je dois à l'auteur de ce larcin qui m'irrita beaucoup sur le moment, je le confesse, le petit texte suivant...

Etait-il là, en laine
Cachemire, angora ?
Etait-il en la peine
D'un ladhakhi, là bas ?
Etait-il en la chaîne
Entre sa croix et moi ?

Mais il n'était plus là
Sur la commode en bois
Où je l'avais posé
Sûrement ce matin !
Quelqu'un avait osé
Commettre ce larcin !

Etait-ce Garuda (*) ?
Ou bien Milarepa,
Me rappelant par là,
Que nul ne peut, sur terre
Partir en l'Au-delà,
S'il ne pense à son frère

Crucifié, sans voix,
Qu'un hasard a mis là...
... Réparant, restaurant
En mon coeur ignorant,
La Beauté du Dharma !
("Le chandail dérobé", "Sur les pentes des Himalaya", Leh, Ladakh, 21 août 2003)

Nous fûmes très heureux de retrouver au Lhasa Art Palace de Leh le frère jumeau du chandail disparu ainsi qu'une statuette du poète et théologien tibétain du moyen-âge, Jetsün Kabum Milarepa, dont les écrits sont une merveilleuse porte d'entrée à la compréhension du Bouddhisme tantrique... et que j'ai tenté de versifier ainsi pour imaginer ce que pouvait-être leur rythme et sonorité originelle.

Dans les régions du Nord, où l'immensité règne,
Je rêvais qu'il était une vaste montagne
Dont le sommet neigeux, montait, touchait le ciel.
Tout autour de la cime, tournaient lune et soleil
Dont les puissants rayons illuminaient les cieux...
("La vision" - extraits - "Sur les Pentes des Himalaya"
d'après Jetsün Kabum Milarepa, en avion, entre Paris et Delhi, 2 août 2003)

J'ajoute que le gérant du "Lhasa Art Palace" (près de l'hôtel Dragon) mérite d'être recommandé pour sa gentillesse et son aide à s'y retrouver dans le dédale des boutiques de souvenirs et d'art ancien de Leh - Ce dont nous tenons à lui témoigner ainsi !

Jeudi 21 août - Le temps est beau et notre avion pourra décoller sans contretemps ni renouveler la mésaventure du groupe de l'avant-veille qui avait dû reporter son départ d'un jour. A l'aéroport de Delhi, nous montons aussitôt dans un autocar pour aller à Agra. Les faubourgs sont très encombrés (vaches, voitures, rickshaw, bicyclettes ...) et malgré la bonne route à 2 voies séparées qui suivra, il nous faudra 6 heures pour couvrir les 200 km, à temps toutefois pour visiter le merveilleux Tadj Mahal avant sa fermeture à 19 h (il aurait été fermé à toute visite le lendemain, vendredi). Le premier contact est déplaisant - C'est Disneyland avec sa cohorte de touristes... dont nous sommes... mais peu à peu, le soleil couchant et la dilution de la foule aidant, le mystère du lieu nous enveloppe. Je ressens ce prodigieux monument comme la folle volonté de rematérialiser l'impossible - une femme aimé disparue ! Je me plais à voir ce Tadj Mahal comme un "fantasme" extraordinaire, cette volonté de recréer ce qui n'existe plus, lui redonnant vie dans notre imaginaire ...

Fantasme dans le ciel :
Etrange sentinelle
Arrachée au Réel,
Dans les coeurs, les ruelles

De l'Incertain qui rêve,
Au souffle qui l'entraîne
Bien loin, bien loin, sans trêve,
Dans l'espoir, dans l'arène

Des passions lointaines.
Il entrevoit alors
Le fantasme, ou la mort,
Qui va briser sa chaîne

Et concentrer son être
Vers l'Absolu : Atteindre
A l'Impossible ! Etreindre !
Ou bien, seul, disparaître !
(DV, "Fantasme", En bavardant, dans l'autocar, entre Delhi et Agra, 21 août 2003)

Ainsi le Tadj Mahal est bien le "fantasme suprême" ...

... Il effleure
En ses pleurs
Il efface
En l'espace,

Il approche
En ses proches,
Le lointain
Qu'il étreint

Dans le vide
Et les rides,
En l'essence
De l'absence
Qu'il encense !
("Taj Mahal", Agra, 21 août 2003)

Vendredi 22 août - Voilà, notre voyage s'achève ! Nous nous accordons un lever plus tardif dans le bon hôtel dans lequel nous sommes logés à Agra et prenons un peu de temps pour flâner dans les quartiers artisanaux animés qui entourent le Fort Rouge.

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Je trouve enfin des flûtes traversières indiennes ayant une bonne sonorité chez un marchand d'instruments de musiques qui est à recommander - à proximité du point GPS 190 pour les amateurs de passage à Agra ! De retour à Delhi, nous profitons de chambres confortables mises à notre disposition dans l'hôtel Méridien (somptueux, mais un peu surréaliste après notre périple dans le Zanskar .!) et dînons une dernière fois ensemble pour conclure ces 3 semaines exceptionnelles de chaleur et d'amitié, vécues en commun.

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Retour à Paris, via Francfort ... et quelques mésaventures avec nos bagages pour nous ramener à cette "illusion" que nous appelons plus communément le "réel" !...

Nous remercions par avance les "valeureux combattants" et marcheurs de ce trek de nous faire part de leurs demandes de corrections, compléments, ... dans ce texte provisoire !

Références et notes utiles (à venir)

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03-11-24

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1ère partie (De Delhi à Chetang)

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Méditations et Poésies

"Sur les pentes des Himalaya"