Du Mahabharata à la science-fiction, en tous lieux, en tous temps, la Foi jaillit lorsque l'on attend plus qu'Elle mais la soif de pouvoir s'attache aussitôt à la détruire en voulant l'accaparer !
Cette évocation poétique veut en témoigner : Elle illustre, les racines indo-européennes qui ont fondé le Christianisme, racines dont la cohérence lui manque tant, semble-t'il, de nos jours !
L' ouvrage se compose de 10 chapitres principaux ( Sola fide ! Un ! Terra incognita ! Carthago delenda est ! Indignus ego sum ! Lux ! A l'écoute du Mahabharata, Sur les pentes des Himalaya, Visions esséniennes et Par les sommets, par les forêts, vers l'Au-delà ..) qui présentent cent cinquante poésies originales de forme classique évoquant les périodes de forte spiritualité (depuis le Mahabharata ... jusqu'à nos jours) et particulièrement les visions hébraïque, essénienne, chrétienne, persane, ... mozartienne, de l'alpinisme et de la science-fiction contemporaine !
Ingénieur et délégué d'un groupe industriel à Bruxelles pendant les vingt dernières années, l'auteur s'appuie d'abord sur une tradition familiale chrétienne et protestante : Celle de la branche protestante des Arnaud du XVIème siècle (tant reprochée aux jansénistes au XVIIème ..) et celle des Vinard de Vernoux. Son grand-père, Jules Vinard, poète protestant du début du siècle dernier ("Par les sommets, vers l'Au-delà" aux éditions Fischbacher en 1914), était pasteur en l'Eglise Réformée de l'Etoile à Paris.
Ancien responsable des Associations Chrétiennes d'Etudiants Protestants (Fédé) et des Associations Familiales Protestantes (AFP) à Paris, délégué pendant vingt ans aux synodes franciliens, prédicateur et théologien laïque, il a étudié à la faculté de théologie protestante (Centre de Formation Chrétienne) avec Jean Bosc, André Dumas et Louis Simon.
La pensée de l'auteur est donc, avant tout, chrétienne et contemporaine, et s'il puise aux sources indo-européennes et esséniennes c'est pour dire que la "cohérence" de nos religions monothéistes, la sienne en l'occurrence, devraient bien s'en inspirer à nouveau ! La forme poétique, analogique (parabolique), n'est elle pas le moyen d'en dire plus que de longues prédications ou moralisations ?
Son inspiration s'enracine aussi dans la musique, la flûte et le violoncelle, et dans la montagne : Chef de course actif en ski-alpinisme et dans diverses instances nationales du Club Alpin Français, il témoigne ici de la joie que leurs passionnés y trouvent " ... Sola fide !".
Enghien, 30 mai 2004
(*) Sefirot : Emanations, échelons, racines, ... essences divines de l'Être (voir Annexe I)
(**) Sola fide ! : Par la Foi seule ! (Epitre aux Romains, 3/21-22)
Daniel Arnaud-Vinard "En déclinant les Sefirot ... Sola fide !" 02/10/05 16:22 - Textes et illustrations déposés @ SGDL - Reproduction interdite sans accord de l'auteur.